La Compagnie des Zindes - Rykke-Errel
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Clan Rôle Play de Rykke-Errel
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion

post haec

Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

Partagez
 

 Le récit d'un guerrier maléfique

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Eclipseo

Eclipseo


Masculin Divinité Iop
Messages Messages : 222

Le récit d'un guerrier maléfique Empty
MessageSujet: Le récit d'un guerrier maléfique   Le récit d'un guerrier maléfique RT1aivT05.11.12 18:36


LE COMMENCEMENT...

Tout commence au début de ma dixième année. Je rêvais de devenir aventurier, un grand combattant, et de voir du pays! Mais, du coin de la petite taverne à Brakmar de mon père Tuboi'ça, qui se faisait braquer comme une banque, très (trop souvent par des chafers saouls, mon rêve était presque impossible à réaliser. Nous devions faire très attention à ce que nous achetions, puisque nous étions très pauvres.
Mais ma vie fut changée à jamais le 13 Juinssidor 613. Je me rendais à la milice voir quels malheureux anges avaient été faits prisonniers cette semaine-ci lorsque je fus attaqué par des brigands de grand chemin. J'allais me prendre une méchante correction lorsque passa un grand soldat chevalier sur son dragon de couleur pourpre. Celui-ci mit en déroute les brigands et m'aida à me relever.Devant le désarroi causé par le dégagement de sa puissance, il me prit en pitié et me proposa de m'entrainer au combat pour pouvoir me défendre seul.
Des jours, des semaines et des mois passèrent et je devins de plus en plus fort. Le chevalier dénommé Torgard me disait extrêmement doué et, le 26 Javian 615, il m'annonça que j'étais apte à me battre seul contre les plus féroces des pious et des créatures diaboliques. Je pouvais désormais partir à la découverte de ce monde si mystérieux et dont je ne connaissais rien.
Je partis avertir mes parents de mon départ; ils furent très tristes de me voir les quitter, et parce que depuis quelques temps les affaires marchaient mieux grâce à mon expertise au combat qui permettait d'éloigner les chafers saouls rendus malveillants par la boisson.
Je partis un beau matin, avide d'aventure et de combat, de contes fantastiques à raconter à mes parents à mon retour.
Je découvris de nombreuses curieuses créatures, dont les Crocs Glands qui ressemblaient à des loups, je passai ensuite dans un village presque inhabité où grouillaient aux alentours des dragons semblables à celui de Torgard, ainsi que des Koalaks. Je traversai, après un bon mois passé dans la hutte d'un habitant du village pour passer le mois le plus froid de l'année, une forêt habitée par des arbres vivants, les Abraknydes. J'arrivai ensuite dans une montagne où des montagnes de pierres nommées Craqueleurs se battaient ensemble, tentant toutes d'enlever aux autres la pierre de voûte qui soutenait leur corps. Je marquais toutes mes découvertes dans un livre, inventoriant toutes les créatures que j'avaient rencontrées, leurs faiblesses et les objets récupérés sur leurs corps. Sur mon épée je marquai à l'aide d'un diamant (récupéré coincé dans le corps d'un craqueleur mort) toutes mes aventures les plus épiques que j'avais vécues. Enfin, je traçais sur une carte toutes les régions dans lesquelles j'étais passé.
Arrivé ensuite dans un lieu grouillant de vie, je découvris bientôt l'utilisation des zaaps dont je m'empressais de marquer le fonctionnement dans mon carnet. Je passai ensuite dans un château où était justement organisée une grande fête. J'y fus convié et il y eu un grand festin pendant lequel les aventuriers présents se contaient leurs aventures. Je remontai vers le Nord où je découvris un village surpeuplé et grouillant d'activités et de gens qui parlaient. Je fis là-bas la connaissance d'une joli archère avec qui je me mariais presque aussitôt à une église. Nous avons continué ensemble notre découverte de ce monde étrange, progressant main dans la main et nous protégeant mutuellement, jusqu'aux confins de l'île Pandala ou face aux créatures nommées Bouftous (qui, je le notais bien dans mon carnet, ressemblaient fortement à des animaux que j'avais connu dans une autre vie, mais lesquels?).
Puis, le malheur s'est abattu sur moi, ma femme s'est suicidée suite à la crise cardiaque de son grand-père vieux de deux cents ans.
Je suis ensuite rentré dans ma ville d'origine pour énoncer mes aventures à mes parents et vivre une année pleine de tristesse et de remords, sombrant dans la consommation abusée d'alcool.
Mais un jour, alors que je m'apprêtais à entamer la livraison de bières apportée, j'entendis dans la salle de la taverne deux clients parler d'un clan. À leur tête et leur façon de parler, je voyais qu'ils n'étaient évidemment pas saouls. Je leur demandais des renseignements sur ce clan, ils me répondirent. Voyant ma tête pleine de tristesse, ils n'osèrent pas demander la raison de cet interrogatoire.
Je leur demandai alors si leur clan accepterait d'anciens aventuriers désirant se construire une nouvelle vie, ils répondirent que oui, mais que je devais soumettre ma candidature qui serait ensuite étudiée par les membres du clan. À ces mots, je cessai de boire et, pendant deux ans d'affilée, je repartais à l'aventure, rendant service aux plus démunis comme Torgard l'avait fait pour moi, en échange de quelques kamas, afin de m'acheter du parchemin et de quoi écrire.
Quelques jours plus tard, je fus invité par le maitr'aildse Martaleryle qui m' appris que ma candidature avait été acceptée, et que je devenais donc leur apprenti..
Je progressai rapidement et j'atteins finalement un rang d'Hirnul...

LA RENCONTRE...

Quelques mois plus tard, alors que je bottai les fesses du grand Bouftou Royal, j'entendis un cri d'appel à l'aide.J'achevais donc mon adversaire et fouillais la salle...et fus pris d'une grande surprise en voyant un petit garçon, les mains pleines de son sang, un bandeau sur la tête. Je le soignai, et le rassurai. Il me suivait partout où j'allai, à l'épicerie du village d'Astrub,et je pus rapidement comprendre qu'il n'avait pas de famille. Je décidai donc de l'adopter, et de le nommer Lead-sacri, car son sang coulait toujours, mais sans que cela lui fasse ni chaud, ni froid.
Je le fis progresser, en allant chez le Bouftou Royal, chez les Blops, je le présentai à mes amis, qui durent l'apprécier fortement: Tontonmanuel l'aida également à progresser dans sa maitrise de ses capacités, et bien d'autres encore.
Je lui fis ensuite découvrir les différents métiers praticables, et il choisit tout de suite le métier de chasseur, suivi de celui de boucher, probablement à cause de son amour pour la vue et le "toucher" du sang
Puis il partit pour un voyage périlleux dans une île remplie de lapins selon lui, et je lui appris à cette occasion la géographie du Monde des Douze, et les noms des créatures le peuplant.
Il revint de cette île avec une maladie grave qui lui fit perdre quelque peu l'usage de la parole et le faisait planter des "cawottes" comme il le disait en plein combat!!Pour sa parole, tout fut rétabli, mais il conserva la capacité d'invoquer cette "cawotte géante".
Il partit aussitôt après pour une île bien plus dangereuse, par les créatures que l'on y trouvait, et par la température qui y régnait.
Il se trouva des groupes et ils progressèrent ensemble, tandis que je m'occupais de certaines tâches pour le clan, ou que je coupai du bois.
Il revint fort changé, et j'avais peine à le battre lors de nos entrainements désormais, et je me décidai, maintenant qu'il allait me dépasser, d'aller progresser également sur cette île froide...

L'AVENTURE...AU PAYS DES WABBITS ET DES CAWOTTES!!

Quelques jours plus tard, je revenais transi et malade comme jamais je ne l'avais été...Le froid de cette île de Frigost n'était décidément pas pour moi...Je me mis en quête de retrouver mon ami sacrieur...Arrivé au port de la magnifique cité d'Amakna, on m'apprit qu'il était reparti sur l'ile de ces lapins, me dit-on, pour une affaire de vengeance...
Aussitôt, j'achetais un ticket pour le ferry, et j'arrivais à l'île quelques heures plus tard..J'y trouvai un renard fort aimable qui me donna un papier sur lequel était écrit:
"Je suis parti chercher les 3 mystérieuses clés...Je veux affronter ce Wa, comme l'appellent tous ces lapins...Je veux lui dérober son..." la fin du message avait été effacée.
Je demandai donc au renard de m'emmener devant le palais de ce roi lapin.Avec effroi, il me dit que pour rien au monde il n'irait là-bas, que cet endroit était maudit.
Je préparai donc mon sac, que je posai sur ma monture, et je partis, tuant tous les lapins qui m'attaquaient, et ne tardant pas à attraper cette fameuse maladie des paroles...Dès lors, je ne pus prononcer la lettre "r", la remplaçant par un "w".
Inutile de vous dire combien le lapin grillé au feu de bois, le soir, en admirant les étoiles, était bon, accompagné de ses éternelles carottes râpées...
Quelques jours plus tard, j'arrivai devant un monument imposant, dont la porte était décorée de dessins de carottes tous plus ressemblants les uns que les autres, et sur laquelle était écrit:
"Notwe bon Wa se wepose ici, ne le déwangez pas, sous peine de violente pwivation de cawotte!"
J'entrai néammoins, faisant-fi de cet avertissement..Je tuais tous les lapins que je pouvais, et j'arrivai finalement devant une grande porte, presque aussi imposante que la pemière, sur laquelle était écrit: "Salle du twone du Wa".
Je m'avançai vers cette porte quand surgit un lapin portant un bout de tissu...j'eus une frayeur folle...ce bout de tissu appartenait au bandeau de mon ami!Le lapin me dit: "Votwe ami m'a lassé ça, il a écwit quelque chose dessus, mais il y a des lettwes bizawes que je n'awwive pas à liwe"
Le texte disait:"Je savais que tu viendrais, mon ami, maintenant, pousse cette porte devant toi, et viens m'aider!"
Je fis ce que m'ordonnait le texte, et fus spectateur d'un magnifique combat entre mon ami et le Roi..A la fin, j'assommai le Roi avec le plat de mon épée.Nous lui dérobâmes sa cape, sa couronne et son sceptre, et nous voyant nous éloigner, le Roi lança vers nous une carotte qu'il disait maudite, puis il s'évanouit.
Nous continuâmes le chemin, et, au bout d'une ascension de plusieurs milliers de marches, nous parvinmes devant un garde, qui nous prit pour son "Wa" et, nous laissant passer, il dit: "Faites attention, les gawdes du Dofus sont un peu tawés, ils wisquent de ne pas vous weconnaitwe!"
Nous le remerciâmes, et nous continuâmes notre chemin...
Nous avons facilement battus ces gardes, en effet, ils étaient tellement déboussolés intellectuellement qu'ils se battaient entre eux...
Une fois cet obstacle passé, nous nous sommes approché d'une porte en or massif, que je dessinai dans mon carnet d'aventures, et sur laquelle était gravé le dessin d'un oeuf sur un support, avec un dragon veillant juste au dessus.
Nous avons poussé la porte, nous sommes avancés...Le dragon descendit de son promontoire et, hypnotisé, nous dit, bonjour, aventuriers, je suis le garde de cette salle; vous n'avez droit de ne prendre qu'un seul objet parmi toutes les richesses qui sont ici...En effet, derrière lui resplendissait la couleur dorée des objets précieux amassés par le Roi lapin. Mon ami prit un vase serti de pierres précieuses et dans lequel, nous informa le garde, apparaissait toujours du jus de carotte, quand il était exposé aux rayons du soleil.
Je prix, moi, une épée en or, avec des inscriptions étranges gravées le long, dont je me promis de découvrir le sens.
Après un regard en coin, nous avons attaqué le gardien en même temps, et nous avons réussi à le bloquer dans un coin et à l'enchainer, malgré sa grande,immense taille.
Nous sommes approchés du fond de la salle, et nous avons vu le Dofus Cawotte, comme j'ai décidé de le baptiser en l'honneur de ces fameux lapins.Ce dofus projetait une douce lumière orangée vers nous, comme s'il nous appelait à le prendre.
C'est ce que nous fîmes, et nous nous sentîmes tout de suite plus sages et plus respectueux...
Aussitôt arriva un lapin, celui qui m'avait apporté le morceau de tissu ; je lui dis:
"Encore toi! Mais pourquoi nous as-tu aidés?"
Il me répondit:
"Je voulais donnew une bonne leçon à Sa Majesté notwe WA, et votwe ami m'a pwoposé de m'aidew, si je l'aidai a pwendwe ce Dofus, qui, pouw moi, n'a aucune valeuw.
Mon ami sacrieur dit tout à coup:
"Sortons, Demon, maintenant que nous lui avons dérobé le Dofus Cawotte, il va l'apprendre et risque de ne pas être très content" (en parlant du Roi lapin, bien sûr).
Aussi, le lapin nous montra un passage secret qu'il avait, nous dit-il non sans fierté, creusé lorsque le Gardien était endormi.
Nous passâmes donc par là, et nous repartîmes jusqu'à la bourgade de l'île, avec 2 trésors, l'un magique, l'autre mystérieux, et un précieux Dofus Cawotte!
Après être arrivés à la bourgade, nous avons du patienter le retour du ferry quelques heures, nous avons acheté un ticket et nous sommes retournés au port de Madrestam, lieu de tant d'échanges sous le contrôle du roi d'Amakna, Allister, qui, lui, ne devait certainement pas garder de Dofus, car cela se saurait.

L'Épée sacrée d'or, choisie par Demon. Les inscriptions sont gravées au bout de la lame.On raconte que cette épée a le pouvoir d'invoquer le soleil...Un lien avec le Calice d'or?

Le Calice, trésor choisi par Lead, l'ami sacrieur de Demon.Du jus de carotte apparait lorsqu'il est exposé au soleil.

LE CHANGEMENT

Quelques mois après mon entrée dans le clan d'Hirnul, et après avoir gravi quelques échelons, un complot entraîna la fin du clan. Un nouveau clan fut créé, Sollytria, auquel Martaleryle décida malgré tout de se joindre. Lui, Lyz et moi-même étions des mentors, sous la direction de deux grands maîtres, Arthalis et Qulbutokeh.
Mais la vie paisible que je menais allait être perturbée... Je vais vous raconter dans quelles circonstances.
À vrai dire, le récit que je vous ai fait jusqu'à présent est incomplet : il y a de cela bien des années, pendant que je m'entraînais sur l'île gelée de Frigost, me parvint une lettre anonyme m'avertissant qu'un grand danger courait sur ma famille.
Effrayé, je prenais donc le premier ferry pour revenir sur le continent, je négociais avec un marchand pas très en chair pour qu'il me laissât monter dans sa carriole, et me voilà au bout de 2 jours à l'entrée de Brâkmar !
J'arrive devant ma maison, et trouve une foule en état apparent de choc.
Je me précipite, pénètre dans la maisonnette, et découvre les corps sans vie de mes parents.
Après m'être concentré sur ce qui allait se passer à présent, je décidais de mener ma propre enquête sur ce qui s'était passé. Je questionne, je relève les indices, tout ce qui peut me mener vers quelqu'un ou quelque chose.
Si bien que quelques semaines plus tard, je suis dans une taverne, à minuit, pour attendre un rendez-vous entre le meurtrier et un de ses amis. par précaution, et par soucis de sécurité pour le gérant de la taverne, je ne citerai aucun nom, à part celui du meurtrier.
Il se nomme Harley David, c'est un être fourbe, toujours encapuchonné et se servant de ses malices et de ses pièges pour arnaquer les gens.
Je le vois entrer, je me précipite sur lui, l'étrangle, le transperce de la griffe empoisonnée que j'ai sortie de ma ceinture. Il meurt, je jubile.
Je sors quelques pièces dorées de ma bourse, les lance au tavernier, qui promet le silence. Je prends le corps, part pour le cimetière, mais je croise l'ami de ma victime sur la route. Il me regarde horrifié. Avant d'avoir pu comprendre quoi que ce soit, il est déjà mort transpercé d'un coup d'épée.
Je prends donc les deux corps et me précipite au cimetière, où je les enterre. Même si ce sont des meurtriers, l'enterrement a toujours été sacré dans ma famille, et je juge que personne n'a le droit de priver un autre de la paix éternelle.
Je rentre chez moi, et ainsi continue ma vie, je retrouve mon ami, il me présente ses frères, un archer de haute réputation et un soigneur hors-paire. La vie me semble continuer comme si de rien n'était, pourtant...
Un message me parvint des années plus tard, il y a quelques jours de cela, du tavernier (devenu mon complice dans cette affaire):

"Un autre te cherche.
Gare à lui s'il te retrouve, ils sont nombreux.
C'est le fils du premier tué, il se nomme Harley David's Son."

Voilà où j'en suis. J'ai parlé avec mes amis, et nous avons réfléchi à ce que je devais faire.
Je viens d'apprendre la mort du tavernier grâce à d'importantes relations que j'ai dans la cité du mal. Il a, selon mes sources, révélé mon nom, mais est mort avant d'avoir pu me décrire ou dire quoi que ce soit d'autre. Tant mieux, le malheur des uns fait le bonheur des autres, comme on dit.
Étant donné la situation dans laquelle je me trouve, je vais devoir changer de nom à jamais, aussi je vous demande à tous, ceux qui lisent mon histoire, d'oublier qui je suis, et de ne jamais laisser ce manuscrit tomber entre de mauvaises mains, il en va de ma vie.
À tous mes amis, je m'appelle dorénavant.... Lead-demon.


*MESSAGE À MES LECTEURS :
"J'ai arraché toutes les feuilles de mon livre, il ne respectait pas l'histoire du Monde des Douze. Rencontrez moi à l'atelier des boulangers en tant que sous fifre pour plus d'informations.".*

THE END
Revenir en haut Aller en bas
 

Le récit d'un guerrier maléfique

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
La Compagnie des Zindes - Rykke-Errel :: Le salon du phoenix-